Cette
fois-ci, il s’agit d’une citation directe du Parquet à partir d’une
plainte qu’il avait lui-même classée sans suite début 2016, et qu’il
re-sort donc, sans éléments factuels nouveaux, deux ans plus tard ! Comment se fait-il que le Parquet, « tout seul comme un grand », re-pioche dans une pile de papiers une vieille plainte de 2016 ? Mystère.
C’est le 3e procès correctionnel infligé à Sophie à l’initiative du Parquet de Lyon et du service ad hoc de l’université Lyon 2 (service juridique). Université où, quelques années avant parcoursup et sa sélection à la tête du CV du client, déjà, Sophie était empêchée par certain.e.s profs de fac de poursuivre en doctorat ses recherches débutées en master sur le thème des violences sexuelles incestueuses.
Comme plus d’une femme sur 100 en France (source : INED, enquête CSF, 2006), Sophie est aussi une survivante de violences sexuelles incestueuses.
C’est le 3e procès correctionnel infligé à Sophie à l’initiative du Parquet de Lyon et du service ad hoc de l’université Lyon 2 (service juridique). Université où, quelques années avant parcoursup et sa sélection à la tête du CV du client, déjà, Sophie était empêchée par certain.e.s profs de fac de poursuivre en doctorat ses recherches débutées en master sur le thème des violences sexuelles incestueuses.
Comme plus d’une femme sur 100 en France (source : INED, enquête CSF, 2006), Sophie est aussi une survivante de violences sexuelles incestueuses.